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DELIRE SUR DOMIADDICT Histoire gay publiée le 18/02/2024
Je m'emmerde et j'ai la flemme d'aller traîner à l'extérieur pour trouver une bouche ou un cul de keum pour soulager mon envie de baiser nocturne. Je branche la cam sur mon ordi et je vais sur Chaturbite histoire d'essayer de lever un bogoss en sexcam pour du plaisir virtuel. Ca m'est déjà arrivé de me taper des branlettes en camtocam avec de bonnes lopes pour me faire monter la pression. Mais là, je pense que ça va être le kiff. Webcam pour l'image, micro casque pour le son, je vais pouvoir me soulager la teub avec une baise virtuelle en cybersexe. Je tape mon pseudo spécial cam « rebeu tbm och en cam » et ça mord direct sur le site. En trois minutes chrono je suis submergé de messages de mes prêts à partager mon kiff en échange de gros plan sur ma grosse bite déjà raide. Je me pause dans mon fauteuil de bureau en caleçon, torse nu, les plaquette d'abdos bien cadrées à l'image. J'ai plus qu'à faire mon choix dans les nombreux messages. Je capte un soit disant bogoss très passif et sportif et quand l'image s'affiche, je tombe sur un vieux bedonnant avec une petite queue en branle. Le batard ! Apparemment des mythos aussi sur ce genre de plan ! Je chope alors un cousin dont le pseudo est « Jamal exhib pour couz » et la je suis pas déçu. Putain c'est une bombe atomique le Jamal ! Il me fait bander à fond direct ! Le couz est trop bien et il exhibe son corps de ouf devant la cam assis sur un fauteuil les jambes écartées sur les accoudoirs. Sa grosse teub de rebeu bande à mort et il se titille le trou de balle devant mes yeux écarquillés. Je trique grave sous mon caleçon et je sors mon zob pour lui donner en gros plan devant ma cam. On dialogue en même temps et je peux entendre mon cousin qui kiffe devant notre séance d'exhib. C'est trop le pied la cyber baise. C'est comme si le keum était avec moi et il est prêt à satisfaire le moindre de mes désirs. Jamal se caresse les pecs devant moi et se frotte sa chatte de lope comme un ouf. Je m'astique le zob comme un malade et mon cousin me chauffe en me disant des trucs bien hards sur ma grosse queue qui lui retourne le cerveau. Et la ou le gars me bluffe, c'est quand il sort un gode d'au moins 25cm ! Il en veut c'est clair et je vais lui en donner. Je prends ma voix de lascar et je lui ordonne de se goder devant la cam. Il s'exécute sans broncher et commence à se rentrer le gode dans le cul en gémissant comme une salope. J'ai la teub super raide et je me paluche comme un ouf, guidant mes coups de poignets au rythme de son cul qui s'enfonce sur le gros gode en latex. C'est trop le kiffe ! Je le chauffe tout ce que je peux à distance : vas y couzin rentre le bien ! branle toi bien le boule avec en pensant à ma grosse teub ! Jamal prend son pied et se branle le trou comme un malade, le gode rentre et sort de son anus dilaté et il branle en même temps sa bonne teub de 19cm bien épaisse. Tout à coup il se met à hurler et se jouit de supers jets de sperme de lascar sur le torse, le gode enfoncé à fond entre les fesses. Je suis tellement och que je crache aussi et je m'envoie directement une rasade de sperme qui atterrie dans mon cou. On continue à se mater tous les deux recouverts du jus de nos teubs circoncises et ramollies devant les cams. Je peux être tranquille pour mes études d'hiver, j'aurai de quoi m'occuper avec ma webcam. Alors si tu veux me rejoindre à l'occase sur Chaturbite, recherche « rebeu tbm och en cam » et on pourra se taper un bon trip tous les deux !
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MA RENCONTRE via DOMIADDICT Histoire gay publiée le 16/02/2024
Pas cool de passer ses vacances sur Paris quand tout les mecs vont aux sports d'hiver. Surtout après mon petit périple à Marseille, le retour à panam en cette saison est un peu dur à encaisser. Ici, le soleil se fait rare. La meilleure solution quand on a un coup de blues, c'est un plan sexe rapide et sans prise de tête : faute de pouvoir se vider la tête, j'ai décidé d'aller me vider les couilles ! C'est dingue de voir comme pendant les périodes de vacances, tu peux t'emmerder encore plus que d'habitude. j'ai pas envie de me prendre la tête à chercher un mec en direct dans la rue, je préfère aller faire un tour sur DomiAddict histoire de pécho une bonne lope pour du plaisir rapide et sans prise de tête. Je me connecte sur DomiAddict et c'est parti pour un peu de tchat en webcam. Pseudo habituel, « rebeu caillera actif bien och, direct now se déplace » et y'a plus qu'à attendre que ça morde ! en deux minutes chrono j'ai déjà reçu huit messages et j'ai plus qu'à faire le tri trankil. Cool, le site, avec les pics tu peux faire ton choix direct en évitant les mythos et les lapins qui t'attendent au final, c'est pas du virtuel ! Ok c'est énorme qui va avoir droit aux faveurs de ma grosse queue cette aprem, je suis le Roi du net et je crois que j'ai accroché une salope trop bonne. C'est un céfran de 26 ans, 182 pour 76 kg tout en muscles avec un bon boule bien rebondi. Il pose à poil sur sa pic et je suis émerveillé par la marchandise. Il squatte vers Voltaire chez un pote à lui, je trace direct après avoir enfiler mes skets et mon survêt en pensant que vu la forme que je tiens, je vais coller direct mon braquemard entre les fesses. Il est hot le keum ! J'ai à peine franchi la porte qu'il est devant moi en string rouge et qu'il se jette à genoux pour me sucer direct. Il me mordille la teub à travers le survêt et bouge ses petites fesses musclées sous mon nez. Je crois que j'ai dégoté la Miss Lopsa du Net de l'hiver 2024 ! Je sors ma queue déjà hyper raide direct et il vient coller sa langue sur mon gland pour me la téter comme une chienne. Il me chauffe grave avec ses coups de langues baveuses et rapidement, il engloutit la totalité de mon zboub en me fixant dans les yeux avec son regard de vicieuse. Avec moi, si t'en veux je vais t'en donner. Je le chope par la nuque et je lui bifle la face à grands coups de queue, puis il prend ma teub toute entière qui vient lui racler le fond de la gorge et mes grosses couilles pendantes et bien pleines rebondissent sur son menton. Il s'étouffe mais il me lâche pas des yeux pour autant. Je lui gave la bouche comme un ouf mais c'est clair que la lopsa en veut plus. Il lâche mon zob et commence à me bouffer les couilles comme un malade. Je me penche sur lui pour lui caresser le boule : il a deux fesses bien rondes et bien lisses, un vrai cul de salope à défoncer direct. D'un seul coup il s'effondre devant moi et se vautre à mes pieds sur le dos. Il s'agrippe à mes chevilles et se met à me lécher les skets en se tortillant sur le sol comme une pure lope en manque de bite. Je vire mon survêt, j'enfile une capote sur ma teub bien raide et le gars vient s'appuyer contre le mur en me présentant son boule. Je vais me caler derrière lui, la teub à la main, et je commence à le doigter en me branlant sur son cul. J'ai eu aucun mal à lui rentrer trois doigts dans son anus qui mouille comme la chatte d'une vraie meuf. Il s'excite sur mes doigts en gémissant comme une pute et je viens poser mon gland circoncis sur son trou. Pas la peine de commencer des préliminaires, il est plus cho que les plages de Djerba en plein mois d'Août ! Je lui enfonce mon zboub direct dans le cul avec un bon coup de rein et il s'ouvre sans aucun problème. J'attaque un limage hardos en règle en le tirant par les cheveux et l'insultant avec un bon vocabulaire de racaille. Le céfran kiffe grave et donne son cul comme la pire lopsa. Il se trémousse pour mieux faire rentrer ma teub dans son cul, et je sens le latex qui chauffe dans son trou tellement je le lime comme un ouf. Il gueule sa mère quand mes couilles qui commencent à gonfler viennent lui taper sur le cul et qu'il sent toute ma teub lui éclater les entrailles. La face écrasée contre le mur, ma lopsa du web est entrain de monter au septième ciel pendant que son cul chauffe comme s'il était dans les brasiers de l'enfer. Avec un coup pareil, je me prends pour une star de film porno. Après Rocco, me voici avec ma teub magique qui fait jouir les lopsa ! Je suis de plus en plus och et je self contrôle pour pas balancer le jus direct au fond de la capote. Une chienne comme celle là çà mérite bien une petite éjac faciale. Je retire ma queue du cul de cette chienne en chaleur et je le chope par l'épaule pour qu'il se colle à genoux devant moi. Je vire la capote et je branle mon énorme queue devant ses yeux brillants de plaisir, apparemment, le keum a du mal à redescendre du paradis où je l'ai fait monter. Je sens mes burnes qui bouillonnent à et je lui balance de grands jets de sperme sur la gueule. En quinze secondes chrono sa face et son torse ruissellent de mon foutre encore chaud. En bon pro, il se finit à la main en gémissant et nettoie en même temps ma teub avec sa langue. Je lui ai demandé de faire une pic de son super cul avec mon iPhone et je l'ai planté direct dans sa chambre et suis passé vite fait me rincer la teub à la salle de bain. Une fois le matos nettoyé, je me suis tiré direct. C'est ça qu'est cool avec le Net, tu consommes du réel et dès que t'as les couilles vides, tu te transformes en virtuel et tu te casses ! C'est la photo de son super cul ci-joint.
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20 ans après
Au collège, Gilles d’origine italienne était très gentil et très beau avec ses cheveux châtains clairs… 20 ans après, l’homme est magnifique avec son gros cul à pervertir l'hétéro que je suis. Première conjonctivite de ma vie un dimanche après midi, je rentre dans sa pharmacie et lui demande un produit sans ordonnance. Je lui demande de me mettre les gouttes dans les yeux et il engage la conversation sur nos vies respectives. Excité par ses formes malgré le sable dans mes yeux, je me mets à bander comme un chien en rut: il le remarque et me demande si j’ai besoin d’autre chose…Je lui dis que je reviendrai le payer en liquide quand ma vue sera revenue. Le Dr Gilles a un regard très lubrique et me dit de rentrer me soigner. 15 jours après, je rentre à nouveau un dimanche dans sa pharmacie de garde en le remerciant de m’avoir fait crédit. Il me propose un café dans son bureau et me dit vouloir être payé en nature. Dévoue à ce pharmacien musclé, je me mets à poil et lui tends ma bite de fer qu’il lèche vigoureusement. Je l’encule à sec en mode Broke Back Mountain: il gueule pendant 10 minutes et je lui tasse mon jus bien au fion. Il me dit que la prochaine fois, il me dépucellera aussi violemment: rendez-vous est pris au printemps…
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Dans les vestiaires
J'ouvre la porte du vestiaire et je vois un gars de ma classe marocain, 1m86 matte de peau entrain de se branler. J'étais choqué par la scène, je savais pas comment réagir à ça.. il a levé la tête et m'a dit d'un air détendu Je me demande si j'aime encore les gars... Les cours de sport c'était pour moi une horreur. Car je me forçais pour ne pas mater les gars dans les vestiaires parce que j'étais certain que j'allais bander a 100%. Alors j'essayais à chaque fois de me dépêcher et de sortir le plus vite des vestiaires. Un jour, le prof m'a demandé de ranger le matériel, 10-15 mon après j'ai terminé et je me suis dirigé aux vestiaires. J'ouvre la porte du vestiaire et je vois un gars de ma classe marocain, 1m86 matte de peau entrain de se branler. J'étais choqué par la scène, je savais pas comment réagir à ça.. il a levé la tête et m'a dit d'un air détendu ( et bein ça a l'air de te plaire ) j'avais pas vu que j'étais entrain de bander (c'était cours d'athlétisme et du coup j'étais en cycliste. Je savais pas quoi lui dire, il m'a rassuré en disant c'est rien et que c'était limite un compliment de voir que je bandais. Il m'a dit ça te dit on va se branler ensemble dans les toilettes. Pris au dépourvu j'ai dis oui. On commence à se branler et 5 min après on commence à se toucher je prenais un plaisir incroyable. Je vous laisse imaginer, vous découvrez votre sexualité avec un marocain dans les vestiaires et vous vous branlez dans la douche. Malheureusement la sonnette a sonné et il m'a demandé de rien dire à personne. Chose que j'ai fait.
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Le coéquipier
Cette histoire c’est déroulé il y a maintenant 1 an et demi. En 2022 j’étais manager dans une grande chaîne de restauration rapide. Ça faisait 6ans que je travaillais pour la même franchise et on m’avait muté dans un restaurant, qui était le restaurant qui faisait le plus de chiffre d’affaire et qui était classé 3eme plus gros restaurant de France. Il est juste à côté du stade et il nous arrivait souvent de finir très tard les jours de match et l’été. Lorsque je commence dans ce restaurant je fais connaissance de l’équipe, le directeur de ce restaurant est un vrai c*****d et je pèse mes mots. A cette période un très gros turnover est en cours mais il reste des survivants. Je prends mes marques dans le resto en doublons avec un autre manager le temps de l’acclimatation et je repère certains qui pourraient venir renforcer l’équipe de gestion dont un que j’avais déjà repéré lors d’un détachement que j’avais fais quelques mois avant. Lors d’une réunion je partage à mes collègues mes observations et le directeur dans sa grande puissance décide que j’ai tords et m’envoie quelques tacle en me faisant comprendre que je ne suis pas capable de savoir « qui est un bonhomme »… Petite précision tout le monde connaît mon homosexualité et des bruits de couloirs que j’ai eu ça dérange ce dit directeur. Du coup pour répondre à son commentaire, je lui fais une rapide analyse de ses méthodes de travail et lui rappel qu’on m’a envoyé dans ce resto pour relever le niveau car malgré un chiffre d’affaire astronomique la gestion du restaurant est plus que laborieuse. Ce petit rappel lui fait rabattre son caquet et me dit : -« Très bien, alors dès la semaine prochaine on commence par Este. Mais compte pas sur moi pour le former tu te débrouille avec lui et tu verras que j’ai raison » Este c’est le premier que j’avais repéré. J’approuve et accepte de défi. Il en faut bien plus pour me mettre à l’épreuve. Le directeur modifie les plannings et Este se retrouve planifier avec moi. J’ai 6 semaines pour le former c’est le temps habituel pour former un assistant manager. J’annonce la nouvelle à Este il est ravie. Il me dit que ça lui fait d’autant plus plaisir que d’être formé par mes soins. Sans prétention je faisais parti de l’élite de la franchise et les années d’expérience m’ont permis de grandir et de devenir plus humain. Car je dois l’admettre au début j’étais un vrai salopard. En très peu de temps j’ai su gagner la confiance des équipiers. La formation de Este commence par une ouverture, je lui explique les procédures et tout ce qui est nécessaire… Arrive la pause et on discute de nos vies et j’apprends qu’il est en couple avec une fille mais c’est pas la folie puis elle est pas dans le coin car elle fait ses études à Lyon. Du coup ils se voient pas souvent. Il se sent un peu seul en ce moment cela va faire 2 mois qu’ils se sont pas vu. En rigolant je lui dis que les plaisirs solitaires ont leurs limites. On rigoles et il me demande pour moi, je lui explique que je suis marié et que mon mari est génial. Mais que mon travail me prends trop de temps pour rien même si je suis plutôt bien payé. Mais l’argent ne fait pas tout. Et il m’avoue qu’il est pas tellement hétérosexuel mais qu’il se considère comme bisexuel. Je suis étonné même si je m’en doutais légèrement car il faisait des blagues très tendancieuses avec les autres mecs de l’équipe. On retourne au travail et mon cerveau se focus sur sa le fait qu’il est bi. Ma façon de le voir est différente et je comprends maintenant pourquoi le directeur ne voulait pas le faire évoluer au début. Car lorsqu’il avait été recruté il était en couple avec un garçon mais sa relation n’avait pas fait long feu. Les jours s’enchaînent, et je lui trouve un côté sexy. Il fait un peu moins d’1m80, svelte, blond les yeux bleus et il portait un pantalon de travail qui le mettais bien en valeurs. Jolie petites fesses bombées et un paquet qui avait l’air correctement fournis. 1 mois après le début de sa formation tout roule. Sa certification approche mais tout ce passe bien. Un soir nous faisions la fermeture ensemble, grosse soirée en perspective car il y a un concert à proximité. La soirée se déroule bien mais je sais d’avance que nous sommes pas prêts de rentrer. En effet la directrice adjointe m’a demander de l’avancer sur son inventaire et en même temps montrer à Este comment ça fonctionne. Je prévient Este de cette info et il me dit que ça ne le dérange pas et me demande si on sera que tout les deux. Je lui réponds que oui sans compter l’équipe de nettoyage de nuit mais que ça ne change rien on ne s’occupe pas d’eux et que nous ce qui nous intéresse ce sont nos stocks. La soirée se passe sans encombre une fois notre fermeture fini on libère les équipiers et on se mets à faire ce que nous a demandé l’adjointe. Il n’y a plus que nous et la société de nettoyage dans la cuisine et à la plonge. Nous allons dans le stock sec il est tout en longueur et à l’écart d’où se trouve la société de nettoyage. On y rentre et le directeur avait blindé le stock en prévision du gros week-end qui nous attendait avec un gros match de ligue 1. Je dis alors à Este en rigolant: -« on est autant à l’étroit que dans ton pantalon » Il rigole aussi et me dit : -« C’est vrai que mes pantalons sont moulant mais c’est pour me mettre en valeurs » -« Mission réussit que ce soit l’avant ou l’arrière tout est à ton avantage » -« Ah tu l’as remarqué alors, ça me fait plaisir depuis le temps que je fais exprès » -« Comment ça ? Tu voulais que je te dise quelque chose ? » -« Je voulais savoir si je continue à plaire aux hommes meme si j’avais une meuf » -« Écoute t’es sexy et en plus de ça la nature a l’air de t’avoir gâté. Mais déjà je suis marié et en plus de ça je suis ton supérieur je peux avoir des problèmes juste avec ce que je viens de te dire » -« t’inquiète pas JL on est dans le stock sec et personne d’autre que toi et moi pourrait le savoir » Et il ferme la porte du stock à clé. Je n’ai pas peur car je suis plus grand et plus baraqué que lui mais la situation ne me mets pas à l’aise. Je lui fais part de mon sentiment et il me dit : -« Vraiment JL je te trouve très sexy et tu sais ça fait un moment que j’ai rien fais et comme tu l’as dis la branlette ça va 5min » -« Je comprend mais ce n’est pas raisonnable » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il déboutonne son pantalon et sa queue sort direct il ne porte pas de caleçon. Je suis bouche bée en 6ans c’est la première fois qu’on truc pareil arrive. Sa queue est à demi mole plutôt large et déjà assez longue. Je lui dis alors: -« tu as vraiment été bien gâté par la nature, mais Este rhabille toi » Il s’approche de moi, prends ma main et là mets sur sa verge. Elle a l’air lourde. En me tenant par le poignet il commence à se branler avec ma main. Je suis figé mais je le laisse faire. Cela ne me déplaît pas je sers même la main. Et il me dit : -« ah tu vois que tu en as envi aussi » -« oui mais ce n’est toujours pas raisonnable » Il me lache le poignet et le masturbe comme il se doit. Son sexe se durcit dans ma main il a gémit en me fixant droit dans les yeux. Et sans que je m’y attende il m’embrasse à pleine bouche. Je rentre m’y prends au jeu et il mets sa main sur ma tête pour le diriger vers sa verge. Je m’agenouille et je me retrouve face à son sexe qui est énorme. Il cachait plutôt bien son jeu. Il prend son sexe dans la main et me bifle avec. Et je confirme qu’elle est lourde j’avais limite mal après. Après ça il me présente son énorme verge devant ma bouche et me dit : -« JL suce moi » Ni une ni deux je sors ma langue et lui lèche son gland et parcours avec ma langue toute là longueur de sa verge. Elle doit bien mesurer un bon 21cm et sans parler de sa largeur. Je la prends à deux mains et je le suce avec plus de rigueur. Son plaisir ne se fait pas attendre il pousse des petits gémissements et me dit : -« j’ai toujours préféré me faire sucer par des mecs. Rien de mieux qu’un mec pour en sucer un autre » La bouche pleine je ne réponds pas. Et acquiesce de la tête. Cette fellation dans le stock sec nous donne vraiment chaud. En plus de ça il n’y a que très peu de ventilation, je transpire à grosse goute. Este accélère la cadence et me baise littéralement la bouche. Et me force à lui faire des gorges profondes. Je m’étouffe au début puis prends le rythme qu’il m’importe. Je le sens se contracter, il va jouir. Il va pour retirer sa queue de ma bouche, mais c’est mal me connaître, lorsque je commence un travail je le fais jusqu’au bout. Il me dit : -« Putain JL je vais pas te jouir dans la bouche » Je fais un oui de la tête, et même pas une minute après mon consentement il m’inonde de semence ma bouche. J’avale temps bien que mal. Je suis en sueur je n’en peux plus, entre la fatigue la chaleur et cette fellation je suis exténué. Este est conquis : -« JL putain merci j’avais trop envi en plus tu sais y faire. Tu me forme et moi je te déforme la bouche » -« Vraiment Este tu as une queue incroyable mais je ne pense pas que ça doit se reproduire » -« Je pense aussi, mais vraiment c’était trop bon » -« Oui je te confirme elle est excellente ta queue » Après ça nous reprenons nos esprits et on se mets au travail. On fini vers 3h30 du matin, exténué. Nous allons dans le bureau et Este se change dans le bureau. Je lui dis -« fais attention il y a une caméra ici alors te mets pas à poile » -« ne t’inquiète pas j’ai pas l’intention de me mettre à poile juste en caleçon et si tu veux te faire un replay plus tard tu pourras me mater en caleçon sur les caméras » On rigole et on se mets d’accord pour que tout ça reste entre nous. Sa formation s’est terminée et il a eu sa certification les doigts dans le nez. Le jours de sa certification après qu’il ai eu sa confirmation il me prends à part sur la terrasse et me dit: -« c’est grâce à toi JL, merci pour tout et encore plus pour l’extra… » -« ce n’est pas grâce à moi c’est toi qui a fait le taff. Si tu veux demain comme on ferme ensemble tu peux avoir une récompense » -« avec plaisir » Le lendemain on travail donc ensemble, sauf qu’il n’y a pus rien se passer car les équipiers nous ont attendu pour discuter dehors. Avant de partir je dis alors à Este : -« Désolé pour ce soir, mais c’est pas une coïncidence si ça ne s’est as fait » -« Je pense aussi, laissons les choses comme elles sont et on verra si la vie nous donne une nouvelle occasion ou non. » Après ça nous n’avons plus jamais eu de moments intimes. Juste quelques petites caresses sur son entre jambe discrètement dans le bureau. Puis quelques mois après il fut muté dans un autre restaurant et moi j’ai décidé de mettre fin à mon contrat pour me lancer dans un projet de mon côté.
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Je me retrouvais à pomper une racaille rebeu dans les chiottes
Salut a tous. Je vais vous raconter une histoire vraie qui s’est passée quand j’étais au Lycée. Pour info, j’étais élève dans le lycée ou mon père était proviseur. Alors que j’étais en terminale, mon père avait des problèmes avec un élève, Marwane, qui était en classe terminale technique. Le mec, un grand rebeu footeux de 18 ans mettait le bazar. A cette époque j’étais un geek filiforme, 1m90 pour 75 kg, cheveux blonds assez longs, lunettes, corps de crevettes même si j’ai toujours eu un beau cul et des hanches assez féminines. Un des éléments étaient aussi mes lèvres, elles sont assez charnues. Un jour que je sortais de cours vers 12:00 et que j’allais, toujours seul a cause de mon coté introverti, pour aller à la cantine, je passepar les toilettes. Quand je rentre, il n’y a personne à part une cabine fermée et une odeur de weed. Je regarde vaguement sous la cabine et je vois deux Nike. La porte s’ouvre et Marwane en sort, un reste de joint à la main. Il me regarde et sort direct: « Oh putain mais t’es le fils de l’autre enculé de proviseur toi! » J’essaye de pas répondre mais il me prend par le tee-shirt et me tire vers lui. « T’es son fils non? Hein sale connard! » Je marmonne vaguement oui. « Oh putain ton enculé de daron m’a fait chier ce matin et la je suis sur que tu vas lui dire que je me tapais de la beuh! » Je réponds effrayé « Non non » Il me pousse dans la cabine et la referme. « Tu vas me pomper et comme ça tu pourras rien dire » J’essaye de sortir « t’es dingue je suis pas homo! » Il me prend par le cou. « Arrête t’a une gueule de pédale qui se fait tirer dans une cave, tu vas me pomper ou je te casse la gueule. » Ça me calme. « Voila, met toi a genoux sale khaba » Je me met a genoux même si j’ai pas compris le dernier mot. Il baisse son survêt et son boxer et une grosse queue circoncise, bien veineuse et tendue et bien odorante en surgit. « Vas-y suce salope qu’est-ce que tu attends! » J’ai avancé doucement ma bouche vers sa bite, avec dégoût et sans vraiment vouloir. Ça l’a agacé et il a mit sa main derrière ma tête et m’a enfoncé sa queue directe a fond de gorge. « Mais suce putain! » J’ai failli vomir… et il a rit. « Finalement tu étais peut être pas un pd, tant pis tu vas le devenir! » Il a commencé à me baiser la bouche…il me pilonnait la bouche. Moi qui fantasmais sur une intello black de ma classe , je me retrouvais a pomper une racaille rebeu dans les chiottes. Il a sorti son tel et a commencé a filmer en commentant : « Tu kiffes hein salope, le zboub ! » Il a retirer sa bite et m’a obliger a répondre « oui j’aime » avant de me refaire sucer sa queue puis ses couilles. « Putain si ton pere te voyais me lécher les couilles ptite pute! » Ça l’a excité d’y penser… Il m’a remis sa bite en bouche et m’a vider ses couille en pleine gorge. J’ai pas eu le choix et j’ai avaler. « Voilaaaa c’est ce que tu dois faire Salope. Donne ton tel. Un sms de moi et tu viens la et tu me pepom! » Il est parti direct apres avoir eu mon tel… j’avais pas pu manger mais j’avais été nourri de sperme supérieur. Et j’ai commencé a être sa pute.
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Yacine, prof de sport et sacré bogoss
L’histoire que je vais vous raconter est folle. J’ai l’habitude de venir lire des histoires et j’ai toujours pensé que les miennes étaient lambda. Je suis un père de famille de 37 ans, j’ai 2 enfants mais je sais que je suis bisex. Avec le temps et l’age, une vraie dégaine de daron chauve barbe poivre et sel avec un gros ventre s’est installé. Dans ma jeunesse, j’avais l’habitude de baiser des mecs mais sans les outils d’aujourd’hui. C’était surtout au foot que je rencontrais des mecs que je baisais sur des parkings. L’histoire c’était juste avant les vacances, réunion parent prof pour mon petit qui est en 6 ème. Beaucoup de parents, beaucoup d’attente et la je vois le prof de sport seul. Je le reconnais il taff aussi à l’accueil du Five ou je vais avec mes potes. Je vais vers lui, il ne me reconnaît pas. On parle un peu du gamin, il dit que tout va bien. Puis on discute. Je lui dis que je le vois souvent au five etc. J’avoue que je me souviens de lui parce que Yassine c’est un sacré bogoss. Prof de sport, grand joueur de foot. Il est tracé, beau avec une belle barbe, belle gueule. Il me dit qu’il y va pcq c’est à son cousin qu’il donne un coup de main. La position prof parent m’excite un peu. Je le regarde avec insistance, je lui souris et je remarque des réactions. Le lendemain, comme tous les vendredis, je suis la bas. Je le revois à l’accueil. On discute un peu et cette fois étant tout seul je suis un peu plus rentre dedans. Je lui dis que je suis content, ce soir c’est foot puis la maison pour moi parce que ma femme et les enfants sont partis en Normandie chez ses parents. Il me sourit il me dit « ca va se mettre bien ce soir ». Je réponds que oui, soirée chicha fifa. Il me dit qu’a l’occasion il serait chaud pour une chiche. Le temps que je réponde, mes potes arrivent. On fait notre five, je finis, me change et vais pour rentrer. Pendant que je suis sur le parking à me préparer a démarrer, ca tape a la vitre. C’est Yassine. J’ouvre, il me dit que son cousin a du partir faire une course avec sa voiture, il est à pied et me demande si je peux le déposer avec un grand sourire. Je lui dis que y a pas de soucis, mais que j’suis mort de faim et si il veut on peut manger. Il me fit que lui aussi, sur la route on se mets d’accord de commander chez moi et faire la soirée chicha. On se pose dans le salon, je commande les pizzas. En attendant on discute, il me dit qu’il a une meuf etc. On mange, on rigole et la ma femme m’appelle, je réponds. Elle m’annonce qu’elle ne rentrera pas avant le week-end prochain parce que sa mère est malade et donc elle préfère l’aider. En raccrochant Yassine en rigolant me dit « tu vas avoir les couilles pleines » Je rigole et lui dit, ca fait un moment qu’elles le sont parce que la petite dort souvent avec nous. Il sourit et met une main sur ma cuisse, en me disant qu’on peut trouver une solution. Je rigole et je dis « j’me doutais bien que t’avais une tete de mec que j’pouvais baiser » On se rapproche, grosse galoche. On commence à se toucher de partout. Il me dit « vraiment les papas gros ventre poilu comme toi c’est trop mon délire » je rigole. Je touche ses abdos imberbe et j’dis que moi c’est tout le contraire. On se déshabille. Je prends ma bite a la main il commence a me sucer comme un affamé. Je gemis de fou. Je lui touche le cul, il me dit « j’me fais pas baiser » je rigole et je dis , c’est ce que je dis aussi mais on va se baiser l’un et l’autre tkt. J’commence a masser son trou il gémit aussi et suce encore plus profondément. Je me mets debout et commence a lui baiser la bouche. Je sens que j’peux finir donc je le lève, me mets cette fois a ces pieds. Je baisse son jogging et la je vois une bite énorme, facile 20 cm mais surtout épaisse comme rarement j’ai vu. Je prends en bouche difficilement. C’est la plus bonne bite que j’ai sucé. Il avait déjà du pré-sperm au bout j’leche a fond. J’le suce bien 10 min avant de nous mettre au lit en 69. On se suce et la il commence a me lécher le trou. Je kiff de fou. Ca faisait super longtemps que personne s’était oqp de mon trou. Il commence a me mettre des doigts je suis ailleurs tellement je kiff. je lui dis de me prendre. Je me mets sur le dos, pieds sur ses épaules il commence a m’enfoncer sa bite énorme tout en me léchant les pieds. Je suis parti loin tellement c’était excellent. Il m’enfonce sa bite jusqu’au bout au fur et a mesure. Je cri de douleur mais je sais que je vais kiffer. Quand il est bien rentrer il s’arrete, s’allonge sur moi et on se galoche avec des pelles baveuses. Il me leche les oreilles et commence a faire des va et viens. 2 min après je le supplie de me baiser comme une chienne. Plus de douleur , je veux juste me faire détruire. Il me baise pendant 5 bonnes minutes et me crache dans le trou. Je sens son jus chaud en moi. Il s’allonge sur moi , on se galoche fort . Je le retourne, cette fois c’est a moi. Je lui leche son trou imberbe. En plus d’avoir une bite incroyable, le footeux a des cuisses et un cul de malade. Je leche ca avec passion, j’commence a le baiser mais a 4 pattes . Je le baise a peine 2 minutes que je tiens plus je crache aussi. On s’allonge un peu a se galoche, câliner puis on va dans la douche. Je me remets devant lui et en le sucant le fait cracher dans ma bouche pour avaler son jus. Rarement autant kiffer baiser avec un jeune et lui il a kiffe avoir son ours papa a ses pieds.
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Livraison
Bonjour , On peut appeler cette histoire livraison. Je suis certes mature mais l'envie est toujours là. Je me rends compte avec plaisir que pas mal de jeunes se tournent vers les matures et nous appelle daddy . L'histoire que je vais vous raconter est peut être banale mais se faire livrer a manger n a que des avantages . Je commande sur un site un repas livrable a 20 h 30. J'ai le temps de prendre la douche. Mais en sortant de la salle de bain avec mon seul peignoir sur moi, çà sonne. Je vais ouvrir et un minet rebeu de 22 ans environ me dit, votre repas monsieur. Il me regarde dans mon peignoir et je vois une belle bosse derrière sa braguette. Je lui dit rentrez, je vais chercher mon porte monnaie, installez le repas dans le séjour. En prenant le billet dans ma poche, mon peignoir s'écarte et mon sexe tendu apparaît. Il rougit mais le regarde. Je m''excuse mais il regarde mon sexe que je cache rapidement. Il dit c'est pas grave. Et sa bosse gonfle bien maintenant. Je lui demande vous voulez boire qq chose ? Il sourit mais décline alors je tente et je lui touche son paquet. Il s'écarte surpris mais il est excité et après deux ou trois palpations il se laisse faire. J'en profite je sors sa queue bien dure et l'avale d'une traite. Il couine et joui après deux va et viens. Rapide. Son jus est épais . Il s'excuse ... je lui dis tu en avais envie ? Il me répond oui mais c est la première fois qu'un vieux me suce et j'ai adoré. Si vous voulez je fini mon service a 23 H , je peux repasser pour vous finir aussi ? Bien sur j'ai accepté. En partant il me roule une pelle et chuchotte "à toute j 'ai hâte ".. Je vous raconte la suite dans une prochaine histoire . Dites moi si çà vous excite ? Moi d'y repenser je vous laisse deviner.
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Le rebeu du train
Coucou cela s’est passé dans le trajet du retour dans le train le 1er janvier. Je me retrouve un peu déçu de partir mais il faut bien rentrer. Je me pose dans le train à l’avance. J’anime bien mater qui rentre pour savoir si je vais me rincer l’œil ou pas. Et là un beau mec la trentaine entre j’espère tellement qu il sera à côté de moi. Un beau rebeu barbu, 1m90 bien musclé en survêt… Par chance il s’installe à côté de moi, je lui demande si il préfère la fenêtre et me fait non de la tête. Je me pose avec mes écouteurs et lui regarde son téléphone. Un moment je tourne la tête et je ne peux m’empêcher de mater son survet et là je vois une sacré bosse ce qui me donne le barreau direct. Je pensais qu il n’a pas grillé que je le matais mais je me trompais, il me souriait puis touchais son paquet. Il me pris la main et la posa sur son paquet puis sourit à nouveau. Je le caresse à travers le survet puis je met la main dedans et commence à le branler. Et là il me chuchote tu m’excites trop rejoins moi et il part dans les chiottes. J’attends une minute et me rend au chiotte. Il n’a pas fermé la porte à clé, je rentre c’est un peu étroit. Il était debout et me dit vas y amuse toi bien. Alors je descends son survêt qui laisse apparaître une sacré teub je n’ai jamais sucé si grand et gros ( 21/6 ), il relève son t shirt sur sa tête et laisse apparaître un torse bien musclé et très poilu comme j’aime ce qui m’excite encore plus. Je ne me fais pas prier et commence à jouer avec son gland et là il me prend la tête et l’enfonce d’un coup sur sa bite j’ai un haut le cœur, il me dit on a pas tout le temps, je me laisse baiser littéralement la bouche j’en bave grave, j’ai l’impression que je vais étouffer mais au fur et à mesure ma gorge s’habitue et je prend un sacré plaisir, il sort sa bite me biffle à plusieurs reprise un plaisir de sentir sa queue lourde sur mon visage, je m’occupe de ses boules et il gémit grave. Je continue à le sucer avec application et il moment je sens son rythme s’accélérer et il m’enfonce sa bite bien au fond de ma gorge et déchargé plusieurs jets quel kiff, je nettoie ensuite sa queue avec application. Il sourit et se rhabille en vitesse et me dit de sortir, je me relève et sort et je pars à ma place, il me rejoins quelques secondes, on commence à parler vite fais que le train arrive, il me dit je veux qu’on se revoit mais là je veux t’exploser ton cul mais ça s’est une autre histoire ...
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Le kebab à la sauce blanche
C'était cet été, je faisais les magasins au centre-ville et à midi j'ai commencé à avoir faim. J'avais envie d'un grec alors je suis rentré dans un resto pour commander. Là je vois 3 gars qui sont derrière le comptoir dont un rebeu assez grand, les épaules carrées mais fin, à peu près 28 ans et barbu. Là je flashe complètement car il me faisait de l'effet. On se regarde et je vois que son regard s'arrête bien sur moi. Il bloque. Il a un beau regard, noir et profond. J'aimerais bien que ce soit lui qui prenne ma commande mais il est occupé et son collègue s'adresse à moi. Là j'y vais pour commander mais il fait signe vite fait à son collègue et ils changent de place. Du coup c'est lui qui prend ma commande. Non mais laisse tomber, c'était discret mais en même temps j'ai compris qu'il veut se rapprocher de moi. Il me demande ce qu'il me faut et je commande. Je sens vraiment son regard insistant sur moi. Après que j'ai donné ma commande, il me dit de m'installer et qu'il viendra m'apporter ma commande à table. Ca se fait souvent comme ça. Moi aussi mon regard est insistant. Donc je pense qu'il a capté. Je vois un escalier et je vais m'installer en haut. C'est petit mais il n'y a personne. Après 10 minutes je le vois monter les marches et se diriger vers moi. Il vient déposer mon plateau et me demande s'il me faut encore quelque chose. Je lui dis que non. Là je sens qu'il reste, il me dit "si vous n'avez pas assez j'ai un autre kebab sauce blanche si vous voulez" et là il prend ma main et la met sur sa bite qui est mi molle. Je sens qu'il est bien membré. Je suis abasourdi mais je ne me démonte pas. Je lui dis "celui-ci a l'air bien meilleur que celui sur mon plateau" et je continue à caresser sa bite en même temps tout en le regardant. Je vois qu'il en a envie, et à dire vrai, moi aussi. D'un coup il se détache de moi et me dit "dans 10 minutes dans les toilettes alors ?" et il regarde la porte à côté de là où je suis assis. J'acquiesce de la tête. Il repart. Je mange vite fait puis bois pour me rincer la bouche. Salope comme je suis, je sais que je vais le sucer. Les 10 minutes sont écoulées et je vais aux toilettes. J'entre dans une cabine et laisse la porte entrouverte. Je baisse la lunette et m'assied dessus. J'attends. Là, pas longtemps après j'entends la porte s'ouvrir. Il vient directement dans la cabine, il a bien compris le topo. Il rentre et on se retrouve face à face. Il me dit "je te kiffe, j'ai envie de toi". Je me lève et on s'embrasse. Pendant ce temps je caresse sa bite à travers son jogging. Puis quand il est bien dur, je sors sa bite de son étau et je me jette dessus comme une chienne en chaleur. Je le suce comme pas possible. Sa bite est dure et circoncise. Elle est bien ferme et assez large, pas forcément super longue. Je kiffe. Son gland est gros et il tape contre ma glotte, je m'étouffe mais continue. Pendant ce temps lui gémit et me dit que c'est bon. Il me caresse le torse et se baisse pour caresser ma bite et mon cul. Moi aussi j'ai un jogging. A un moment donné il met sa main dedans et caresse mon cul. Je sens sa main s'immiscer dans ma raie, puis ses doigts cherchent ma rondelle. Il me dit "j'ai envie d'être en toi, dans ton cul". Il me relève, me retourne puis baisse mon jogging. Là c'est lui qui se baisse et il écarte mes fesses pour pouvoir bien lécher mon trou. Il me lèche comme ça un petit moment puis crache sur bite et mon trou. Il étale bien sa salive et me met un doigt. Je gémis comme une pute. C'est trop bon. Je veux sa queue en moi. Puis il me met 2 doigts, puis 3. Il me prépare bien. Et puis il se colle à moi avec sa bite bien dure à l'entrée de mon trou. Il pousse doucement et moi je gémis comme une chienne. Il pousse et se retire légèrement et puis repousse. Il y va comme ça tranquillement jusqu'à ce que mon trou s'ouvre à lui et là il m'enfonce son gros gland dedans. Je kiffe, je le sens en moi, il me dilate. Je gémis putain. Il y va tranquillement et moi je mouille tellement il m'excite avec sa grosse bite en moi et vu comment il me domine comme sa chienne. "Je vais te la mettre bien profond", "oh ouais, putain, vas-y enfonce-moi ta queue !". Et là il commence à accélérer la cadence et me démonte le fion. Je gémis bien comme il faut. Il me baise grave et j'adore ça, un filet de mouille pend à mon gland, je ne me touche même pas. "Vas-y défonce-moi, je suis ta chienne". "Oui, tu es ma chienne, je vais bien te doser". Mmmmm, c'est trop bon. Il accélère bien et moi je sens mon jus qui monte, je ne me touche même pas mais il tape tellement bien dans mon cul et me malaxe bien la prostate de l'intérieur. Je suis aux anges. Là je ne me retiens pas et je sens mon jus monter, je vais jouir. Je crie et dis "vas-y démonte-moi et fais-moi cracher !". Il répond "ouais, grave, je vais t'inonder le cul !". Je sens qu'il va jouir et là je me sens partir, je jouis à fond et j'en fous partout sur les toilettes quand là je sens sa bite se contracter en moi et il expulse son jus. Il crie et continue à me démonter. Je sens sa chaleur dans mon cul et c'est tellement bon. On se remet de nos émotions, il m'enlace par derrière puis il sort de mon cul. Je me retourne et on s'embrasse. Il me donne son numéro de portable et me dit qu'il doit redescendre car sa pause est finie. Et là il disparaît. Moi je me remets de mes émotions, je me lave un peu et lave aussi les toilettes. Quand j'ai fini, je descends, dis au-revoir genre de rien n'était et me retrouve dehors. Je respire une bouffée d'air frais pour m'en remettre, je me sens bien remplie et satisfait. Depuis on n'arrête pas de se revoir. On verra où ça nous mène.
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Pour un plan cave avec un mec TTBM sur Paris ou Lyon
Je suis un jeune parisien qui adore le sexe. Cette année, je me suis donné comme objectif de rencontrer des mecs TTBM en vrai dans ma cave de tous les péchés. J'ai profité de ma visite chez mes grands-parents dans la région lyonnaise pendant les vacances de Noël pour réaliser mon fantasme. Le jour de mon départ, j'ai pris un train régional tôt le matin depuis les monts du lyonnais pour m’assurer une correspondance suffisante à la Gare de la Part Dieu à Lyon. Mon voyage en train s'est déroulé sans encombre et je suis arrivé à la gare de la Part Dieu à Lyon en milieu de matinée et en même temps que j'arrivai sur le quai j'ai activé mon application Xtremboy.eu Quelques minutes après ma connexion à l’application je suis tombé sur le profil de Andolini un lyonnais qui annonçait être bien monté et habiter près de la gare. Pour mettre toutes les chances de mon côté, je lui ai balancé l’ensemble de mon album de pics très hot. Il m'a répondu en m'envoyant la photo de son énorme queue avec ses exigences. Super excité j'ai immédiatement accepté les conditions du lyonnais XXL qui me demandé de le rejoindre dans sa cave. Effectivement son immeuble se trouvait à environ 400 mètres de la gare je suis allé dans sa cave en suivant ses indications et là je suis immédiatement entré dans mon fantasme le plus profond. J'ai respecté ses conditions pour me soumettre à 4 pattes sur le béton direct à poil, il était là en rut dans l'obscurité, je me suis fait exploser le cul par sa grosse bite comme jamais. Je garde un souvenir super excitant de ce plan cul que je n'ai pas encore réussi à reproduire sur Paris et comme son annonce a disparu je lance ici un appel aux parisien très très bien montés. Bisou.
En crush sur un rebeu de ma classe
Wesh, je m’appelle Tyrick et je suis un renoi de 18 ans. Personne ne sait que je suis gay, je crush juste sur des gens et me branle en pensant à eux. J’étais en crush sur un rebeu de ma classe qui s’appelait Yanis. Il a le même âge que moi, il est grand (1m90), a une moustache et un bouc et plaque ses cheveux avec du gel. Il est super tactile, sourit beaucoup et aime fixer les gens dans les yeux m. Je savais que jamais il ne s’intéresserait à moi et qu’il était 100% hétéro. C’est pour cela que j’ai décidé de créer un compte fake (la honte), en me faisant passer pour une fille. Je l’avais ajouté et tout se passait bien ; j’étais finalement parvenu à filtrer avec Yanis et même si c’était par le biais d’un faux compte j’étais heureux. Il se faisait tard et j’ai eu comme pulsion de le chauffer. Je lui envoyais plusieurs messages à allusion sexuelle dans l’optique de le faire bander. Il était très réceptif et allait même plus loin que moi. C’est là que j’ai reçu un snap violet : lui en train de se branler. J’ai donc continué à le chauffer tout en me masturbant de mon côté. Il me demandait des nudes en retour mais je répondais seulement que je ne pouvais actuellement pas et me contentait de le chauffer. J’ouvrais les snaps tellement rapidement que je n’avais pas remarqué qu’il m’avait appelé en vidéo. Tel un abruti, je répondis et ma tête s’afficha sur l’écran, en appel vidéo avec Yanis. J’ai tout de suite raccroché, et il a envoyé un message en disant « Tyrick ? ». Mon cœur battait extrêmement vite et je l’ai tout de suite bloqué. Après ça, je n’arrivais pas à m’endormir et j’ai cogité toute la nuit ; qu’allais-je faire demain ? En cours, je voyais très bien qu’il me regardait bizarrement. Il me fixait et me dévisageait. J’étais mal à l’aise et j’ai demandé à aller aux toilettes. Je me suis enfermé dans une des toilettes et ai commencé à réfléchir. Après mûre réflexion, je me suis décidé à sortir en direction des lavabos pour me laver les mains. Yanis est sorti de nul part et m’a fait sursauté : - Oh ! Tu m’as fait peur - Désolé c’était pas mon but. Un blanc s’installe pendant que je me lave les mains. - C’était toi le faux compte hier non ? - Quel faux compte ? - Arrête de faire semblant, tu t’enfonces.. Je n’ai même pas osé répondre. - Mais du coup t’es gay ? - Quoi ?! Non pas du tout, c’était pour tester. - Ah ouais ? Et pourquoi tu voulais tester avec moi ? - Je sais pas.. T’es le seul de la classe qui a l’air d’avoir une grosse bite. - Hahaha et du coup elle est grosse ou pas ? - Ouais.. Il s’approche de moi, à quelques millimètres de mon visage et souris. Il a pour habitude de faire ça, mais là, ça m’a directement fait bander. - Et là si je la sortais tu ferais quoi ? - Hein ? Rien du tout.. - Arrête.. parlons français ; tu ferais quoi ? dit-il en me fixant droit dans les yeux et en glissant sa main dans mon pantalon pour toucher mon sexe. - Je te sucerais.. dis-je d’une en chuchotant Il s’approche de mon oreille et murmure : - Alors fais le, suivi d’un clin d’œil. Je vois qu’il baisse son survet lacoste jusqu’à ses pieds et laisse dévoiler de grosses jambes poilues. Je me doutais qu’il était poilu au vu de sa pilosité faciale. Il prend ma tête et l’approche de son boxer Calvin Klein. - Renifle, ça sent bon hein ? L’odeur est assez forte , elle sent la bite et la transpiration en même temps. - Je porte le même depuis une semaine. Il enlève ses chaussures, retire son boxer rapidement et me l’enfonce dans la bouche du côté où il y’avait sa précum. Il me tient par les locks et approche ma tête de ses couilles poulies pour que je les renifle. Il prend sa bite et me bifle violemment à lui. Je suis un homme viril et je n’avais jamais été soumis de cette façon. Il me retire le boxer qui me servait de bâillon et m’ordonne de lécher ses couilles. Je lèche ses couilles et le goût est bizarre. Je commence à le masturber tout en caressant son torse. Je lèche son gland quelques secondes et me lance. Je commence à sucer Yanis. Son 18cm est difficile à avaler, mais il prend la tête et me l’enfonce jusqu’à ses poils pubiens. Il gémit en même temps et continue de me baiser la bouche. Je suis à 4 pattes, il me tire pas les locks et enfonce sa bite au fond de ma gorge. Plein de bave coule jusqu’au sol et colle si ce n’était pas assez, il me crache dans la bouche en m’insultant de salope chaque fois qu’il retire sa bite. Les vas-et-viens dans ma bouche sont de plus en plus rapide. Il enlève ses chaussettes qui sentent mauvais et m’oblige à les sentir. Je remarque qu’il a beaucoup de fantasmes et veut essayer beaucoup de choses. Je sens ses chaussettes et il me fait bouffer ses orteils de pieds qui ont un délicieux goût. Ses pieds font du 45 et comme on dit, gros pieds, grosse bite. Je continue de me faire cracher au visage lorsqu’il se retourne et met ses fesses poilues au niveau de mon visage. Il a un cul énorme Je commence à lécher l’entrée de son anus et enfoncé brusquement ma langue après avoir craché plusieurs fois à l’intérieur. Il prend ma tête et l’enfonce et commence à vrai dire à agiter ses fesses sur ma tête. Il se retourne, m’étrangle et m’insulte recommence à m’enfoncer sa bite dans la bouche. Le goût est tellement bon et je me masturbe en même temps. Finalement, il gémit si fort et m’éjacule dans la bouche. Il me dit de ne pas encore avaler et de se mettre debout. Je me mets debout et il se met à 4 pattes. Il a l’air hésitant mais se lance finalement et ouvre la bouche. Je comprends et enfonce ma bite à l’intérieur de sa bouche. Il est surpris et continue à sucer, même si on voit qu’il a du mal. J’éjacule dans sa bouche et il se lève pour m’embrasser. C’est une sensation particulière puisque nous explorons tous les deux des expériences jamais faites auparavant. Il me crache à plusieurs reprises dans la bouche et me traite de chienne. On se rhabille et on se nettoie. Avant de sortir des toilettes il m’avoue qu’il veut qu’on aille plus loin, et qu’on s’encule mutuellement.
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AU CUL DU CAMION
Les routiers restent un fantasme collectif. Derrière leur volant, ces mecs rodés à la solitude ne rechignent pas à un peu de compagnie lorsqu'une aire de repos se présente. Récit en roues libres… Je dois vous faire une confidence, je suis accro aux routiers. En fait tout a débuté lors d'un départ en vacances. Le besoin irrépressible de faire une pause sur une aire de repos d'autoroute pour remplir de carburant ma caisse et en profiter pour m'alléger la vessie se sont fait sentir. Je gare ma bagnole et file fissa aux toilettes. Vous savez ces toilettes d'enseignes marchandes qui jalonnent les autoroutes françaises devant lesquelles des centaines de personnes s'agglutinent aux heures de pointes. Me voilà donc coté urinoir avec cette satisfaction presque jouissive de me faire du bien juste en urinant. Un mec un peu bourru, hirsute, à la gueule massive s'installe à côté de moi. Il est sacrément charpenté, tout en muscles. Il sort son engin de son calbute, un joli machin bien épais, et commence à pisser. Ni une, ni deux, il me mate la queue pendant que je finis mes affaires. Il a vu que je l'ai remarqué. Mais ne s'arrête pas pour autant. Ses yeux puent le cul. Au lieu de tout remballer, je le laisse reluquer sans broncher. J'ai la teub au garde à vous. Il a compris. Il sort des chiottes sans passer par la case lavabo, ça m'excite encore plus, il doit avoir les mains sales. Il me lance un regard plein de sous-entendus. Ni une ni deux, je le suis à distance pour ne rien laisser paraître. Rester discret est gage de succès assuré. GÂTERIES DIURNES Sur le parking, il se dirige vers la partie réservée aux poids lourds. Il grimpe dans l'un d'entre eux par la porte côté passager de la cabine qu'il laisse volontairement ouverte. Une invitation à découvrir son intérieur ? Je jette un coup d'œil aux alentours, escalade les marches et me faufile dans l'habitable. Il est là, le falzard sur les chevilles, le chibre gonflé en train de se palucher. Je lui gobe en fond de gorge, je m'en étouffe presque. Curieux, mes yeux passent en revue à chaque va et vient sur sa tige raide qui dégouline d'un mélange de pré-cum et de salive, l'espace qui constitue son quotidien de routier. Le gaillard est hétéro 1000%, pas de doute possible. Des photos de nanas dans des postures explicites recouvrent l'arrière du poste de pilotage. Le mec est bien dans sa masculinité débordante, il est le maitre en son royaume. La porte du camion n'est pas fermée, il semble s'en battre les couilles qu'on puisse le voir, il a faim. Me voilà à poil à travailler sa queue goulument. Il me doigte allégrement sur le siège. Tout le monde peut nous voir de l'extérieur, ça me rend plus bâtard que jamais. Il ne dit aucun mot, ses gestes parlent pour lui. Il me retourne sans ménagement dans l'étroitesse de son camion et m'encule. Ce n'est pas la première fois apparemment qu'il s'amuse ainsi. Il joue avec moi. J'en prends pour mon grade. Ça ne dure pas très longtemps, mais j'ai l'impression qu'un régiment m'est passé dessus tellement il y est allé. ACTION EN STATIONS Cette aventure aurait pu être anodine, mais étrangement elle a déclenché en moi l'envie de réitérer l'expérience encore et encore. Depuis, lorsque je fais un arrêt sur un de ces refuges pour camionneurs, je ne peux m'empêcher de me mettre en mode chasseur. Voir ces rangées de camions énormes, alignés les uns à côté des autres en épis, les moteurs encore chauds pour certains me titillent l'entre-jambes instinctivement. Ce qui est un fantasme pour beaucoup est littéralement devenu un passetemps, voire une addiction pour moi. Ce sont en général des mecs loin de leur famille, peu regardants, près à bafouer leurs convictions pour cracher leur purée après des jours d'abstinence dans des bouches gourmandes et des cul serrés. Dans ces machines qui engloutissent des milliers de kilomètres par an, j'ai pris l'habitude de satisfaire les besoins naturels de leurs conducteurs. J'aime l'odeur qui se dégage de ces antres blindés d'hormones masculines. Je me donne corps et âme à la tâche, je ne rechigne pas, ils ne sont pas là pour ça et le font bien comprendre. Les draps un peu crades de leur lit, les effluves de chaussettes fumantes après une journée de conduite et les relents de transpirations qui charpentent ce lieu contraint est ultra attrayant. De véritables backroom mobiles qui cachent des mystères, du foutre et de la testostérone. Je ne sais jamais à qui j'aurai affaire lorsque je pénètre dans leur réduit, mais je ne suis jamais ressorti déçu, et eux toujours vidés jusqu'à la dernière goutte. RÉCRÉATION LUDIQUE Le charme de l'inconnu guide mes pulsions. Je suis très souvent sur la route pour des missions professionnelles et maintenant, ces plans anonymes font partie de mes déplacements. Quelle que soit l'heure de mes escapades, je déniche toujours une ou plusieurs bites au moins à sucer, un cul à bouffer, un barreau pour me bourriner bien profond. Jamais rassasié, je connais leurs habitudes, je les observe et provoque les rencontres. J'aime tout particulièrement les zones peu fréquentées qui ne sont dotées que de toilettes publiques rudimentaires un peu hors d'âge ou de quelques tables de piquenique. L'ambiance se prête à des enfilades sauvages. Tout comme ces espaces boisés qui bordent les places de stationnement réservées aux poids lourds. Et oui, ils ne font pas que se taper des kilomètres les conducteurs de transports routiers, je vous rassure. La solitude du job est l'opportunité de quelques sorties de routes bien agréables. Après des heures passées à piloter leurs gros engins vient le temps de la pause. Celle-ci d'un total de 45 minutes par tranche de 4h30 de conduite consécutive, oblige chaque mec à un temps d'arrêt afin de se relaxer avant de reprendre leur chemin. C'est aussi le moment parfait pour des plaisirs fugaces. FÉROCE APPÉTIT D'autant que je pensais être le seul accro à ces histoires sans lendemain jusqu'au jour où j'ai découvert en ligne, une communauté d'afficionados du genre, mélangeant commerciaux, étudiants et voyageurs. Les routiers nous utilisent, savent nous trouver eux aussi. C'est entendu dans le milieu. Ils se passent les infos des recoins qui fourmillent de bons petits mecs à dispo. Il existe même sur Twitter un compte RoutiersGay qui référencent les différents points les plus actifs, avec la population que l'on y croise, où ça fornique et les précautions de sécurité pour ne pas se faire repérer. Mis en permanence à jour avec une carte très précise, je m'en sers pour définir mes parcours et mes balades sexuelles. Je me délecte de passer de camion en camion, tel un glouton qui va bouffer à tous les râteliers. Je dois avouer que la simple idée que ce soit un routier plutôt qu'un mec lambda me met en transe. J'aime ce genre de gonze. Les chauffeurs me connaissent avec le temps et m'utilisent sans concession, se refilant le tuyau du bon passif que je suis. Désormais, ils s'appliquent à me turbiner entre deux remorques à plusieurs. Je ne dis jamais non, à quoi bon ! L'appréhension d'être surpris en plein ébat, le côté volé de ces instants de stupre et de luxure renforce chaque cabriole. Puis une fois avoir joui, les pantalons se remontent, on reprend sa place, les clefs de contact font démarrer les moteurs, repus et satisfaits… jusqu'à la prochaine halte. Abdel
plan cul bisex dans une cage d'escalier
Je vais vous raconter un plan cul dans une cage d'escalier. Je rentrais de boite vers cinq heures du matin. J'adore marcher dans Paris la nuit, c'est super tranquille, t'as même l'impression que tu pourrais t'y balader à poil sans risque d'être emmerdé. Arrivé rue de Rivoli j'ai eu une super envie de pisser, je me fiche dans une petite rue pour me soulager. Pendant que je pissais j'entendais des gémissements qui provenaient de la cage d'escalier du l'immeuble contre lequel j'urinais. J'avais sur moi le passe qu'un pote facteur m'avait refilé, je l'utilise pour rentrer dans le batiment. Au fond du hall je tombe sur un mec rebeu en train de niquer une blondasse, je joue le mec super cool et balance au keum: - « Putain elle est trop chaude ta meuf, y’a moyen d'en profiter un peu ? » Le gars tout aussi cool que moi continu de sauter la pétasse en me faisant comprendre qu'il n'est pas contre ma proposition. Je m'approche et commence à carresser la meuf tout en laissant mes mains toucher le rebeu. La salope attrape direct ma queue qui était déjà bien dure excitée par la situation. Elle se baisse et avale direct mon gros zob. Le rebeu qui avait sa bite dans sa chatte se retrouve la queue à l'air et va s'assoir dans les escaliers en restant la queue à l'air bien raide. Il s'adresse à sa copine en lui proposant de me donner son cul pendant qu'il la niquera. Je suis super surpris, l'arabe est carrément partant pour faire une double pénétration à sa meuf qui a l'air partante. Aussitôt la garce rejoint le rebeu et s'assoit sur sa grosse teub en commence a se faire pilonner pendant que le mec lui bouffe les seins. Elle se cambre un max pour bien me montrer son cul en m'invitant du regard pour que je vienne l'enculer. Bien entendu je me laisse convaincre. La queue bien raide j'enfile rapidement un préservatif et je viens de positionner derrière elle et après avoir recherché l'orifice en chaleur avec les doigt je lui enfourne direct mon zob au fond du trou. Elle se met à gueuler de jouissance certainement parce que cela ne devait clairement pas lui arriver pour la première fois. Son mec lui baillone la bouche pour ne pas qu'elle réveille tout l'immeuble. Je continue à lui mettre des petits coups de queue de plus en plus profonds, j'en arrive à sentir le braquemard du rebeu qui vient buter contre ma bite derrière la paroi de sa chatte et de son cul. On la baise comme çà pendant plusieurs minutes. N'en pouvant plus le lascar se retire balance sa capote branle sa grosse queue et balance son sperme sur la tronche de la chienne. N'en pouvant plus à mon tour je sors aussi mon zob de son cul et aussitôt je gicle abondamment sur ses fesses. Je vais m'assoir à côté du rebeu les jambes coupées par l'effort. A peine assis la meuf vient prendre ma teub en bouche pour la nettoyer sentir sa langue baveuse sur mon zgeg ramolli me provoque des sensations super jouissives. Je regarde le rebeu super heureux il me sourit et m'attrape la tête par le cou pour me rouler une pelle. Me refaire un petit plan dans le genre à l'occase me botterait bien.
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Mon plan suce dans le train avec un lascars beur
Salut, vous pouvez m’appeler Tiago, je suis un BG de 23 ans vivant sur Paris. Je suis gay masculin looké streetwear, sexe de 19cm non circoncis . Voilà mon expérience RÉELLE avec un rebeu rencontré dans le train et qui m’a pompé. Je me suis appliqué à l’écrire, pour info je ne suis pas littéraire , j’ai vraiment essayé de ne rien oublier, j’ai rien rajouté non plus, j’suis pas Marseillais ! (private joke pour mes potos supporters de l’OM) Après un week end chez les parents à ne rien faire si ce n’est mater la TV et bouffer la cuisine de mère, je prenais le train de retour pour Paname, et c’était parti pour 3 heures. Bercé par le ronron du Corail, je m’endormais avec les écouteurs en écoutant des podcasts sur mon siège casquette vissée sur la tête et lunette noir. Pas que je sois très sauvage, mais je pense qu’on est un peu tous pareil dans le train, entre les odeurs de sandwich aux oeufs sortis de leur papier alu , les gamins qui piailles et les vieux devant qui refont le monde , juste envie d’être dans sa bulle ! Je devais dormir depuis 5/10 minutes quand je sens que quelqu’un vient se poser juste à coté de moi. J’ouvre les yeux à moitié, et je vois un beau lascars rebeu en survet / casquette d’une vingtaine d’année avec un regard chaud, celui qui brille de vice vous voyez ? Donc il est déjà assis à coté quand il me demande : Excuse moi cousin, c’est libre là ? Un peu en attitude Kaïera , je lâche juste un « ouai ouai » et ferme les yeux en écartant bien les jambes pour être à mon aise. Je sais pas trop pourquoi mais me souvient que ma cuisse collait un peu contre la sienne, et avec les mouvements du train, je sentais que ça frottait un peu, sans calculer plus que ça. Ca à dû durer 5 minutes quand je sens qu’il réagi , on continuait à se frôler la cuisse et les genoux mais je voyais bien que c’était pas naturel et qu’il en rajoutait, et en confiance (dans ma bulle) je ne réagissait pas trop appréciant sentir ses jambes musclées contre moi . Je choppe un début d’érection, ouvre les yeux pour voir si c’était pas trop visible, mais le rebeu avait déjà les yeux dessus, pas scred avec un jogging de sport Japan Rags. Toujours feignant dormir, je m’amuse à contracter ma teub comme si j’envoyais des clins d’oeil, je suis pas con, j’ai bien vu que le mec n’était pas en mode choqué ou outré, et donc qu’il pouvait y avoir moyen. Je pose ma main sur la sienne par dessus l’accoudoir. Discret pour pas attirer l’attention, j’attrape son poignet et le pose sur mon paquet. Il palpe et me malaxe la teub par dessus mon survet sport tout en calant son autre main sur son entrejambe. Putain, trop facile ! Le kif ! Je repousse sa main doucement, cale ma teub dans l’élastique du boxer pour pas qu’elle soit trop visible, me lève en lui lançant un « Tu me suis? » et je trace dans les chiottes où il me rejoint quasi aussitôt. Il se colle contre moi et me roule une pelle , ça doigts viennent explorer le dessous de mon boxer et entourent ma teub raide comme la justice. Toujours en me la pétant un peu, je pose mes mains sur ses épaules, il capte et se met à genoux devant moi. Je baisse mon froc tandis qu’il passe une de ses mains dans son survet pour se branler et attrape ma queue de l’autre pour la mettre en bouche. Tony-Milan---Super-Pompeur-de-Bite---Pipe--SuceSes lèvres entourent mon gland, il commence à me décrasser la bite sur toute la longueur en astiquant et en malaxant les couilles. Une pipe royale qui me fait mordre les lèvres. J’attrape sa tête et l’enfonce contre ma bite, je sens qu’elle tape dans le fond et je donne des coups secs qui manquent de lui faire perdre l’équilibre car il est baissé sur la pointe des pieds.\r\nPendant que ma teub limait sa bonne petite bouche qui salivait comme un malade, je le matais se branler, la queue sortie du survet : un bon zob de rebeu , foncé et circoncis, pas très long (pas comme le mec de la photo en tout cas), mais bien épais. Les bruits du train et des rails masquait les bruits de sucions et surtout ses gémissements qui s’intensifiaient . Ce sont ses râles de plaisir qui m’ont fait monter la sauce , j’écarte sa bouche de ma teub, me pougne et voilà que des salves de sperme vont s’éclater contre les murs des chiottes, il n’en rate pas une miette, toujours en s’astiquant comme un deguin. Il me rechope la queue toujours gonflée et ramollie , la remet en bouche en aspirant et en poussant des gémissement et balance la purée sur le sol, une belle flaque crémeuse se colle sur le lino crade. L’extase, je me sentais comme un ouf, l’expérience était à la fois aventureuse et excitante, le genre de plan suce auquel tu ne t’attends pas et peut te coller le sourire pour toute la journée. Apres s’être essuyé et rincé la gueule suintant le jus, il se relève me fait un baiser rapide sur les lèvres. Je lui aurait bien roulé une mega pelle et chopé son numéro, mais j’étais encore dans mon rôle de macho rebel, peut être par ce que j’avais l’impression que c’était ça qui l’excitait sur le moment et que je ne voulais pas passer pour un con. On est retourné s’assoir comme si de rien était, on a pas parlé sur le restant du trajet à part un « salut / ciao » quand on est arrivé en gare. Seulement quelques regards complices et me souvient qu’on avait recommencé à se palper le paquet en scred à en moment, mais on arrivait presque et les gens du wagon commençaient à s’activer et y’avait du passage. Si je te recroise, aucun doute la dessus mon frère, on passe à l’étape suivante , j’ai fantasmé sur toi certaines fois, m’imaginant passer ma main sur ta raie , te titiller le fion puis te limer. T’as bien apprécié ma teub, tu l’aimeras encore plus ! Si tu me lis fais signe ! Ou si un pote vous a raconté la même histoire (c’étais en mai/juin 2022), faites lui savoir que je suis passé ici…
Extrait video OFFERT par SketBoy